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♫ Le blog des Amis d'Alain MARINARO ♫
25 avril 2021

Deuxième flash musical

Chers amis d’Alain,

 

Notre deuxième flash lyrique est prêt ; vous pourrez donc écouter le chanteur Sébastien Gabillat accompagné au piano par Angéline Pondepeyre en cliquant sur :

 

Diplômé d’Etudes Supérieures en Droit Public , Sébastien Gabillat est actuellement chargé de la programmation pédagogique et des actions de diffusion au  Conservatoire à Rayonnement Régional de Musique Perpignan Méditerranée. Après des études de piano,  il découvre le chant à l’âge de 25 ans. Sa voix de haute-contre (ténor aigu) lui permet d’aborder la plupart des premiers rôles masculins des tragédies lyriques françaises de Lully, Rameau, Charpentier et les rôles de contraltos des opéras de Monteverdi et Haendel. Fortement sollicité par divers metteurs en scène, il réserve une part importante de son temps libre à des interventions lyriques.

 

Angéline Pondepeyre a obtenu les prix de piano et de musique de chambre, puis d’accompagnement au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Conjointement à son enseignement de l’accompagnement au piano au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison et au Conservatoire National de Paris, elle s’est consacrée à la carrière de Chef de Chant qu’elle a exercée dans différents théâtres nationaux. Son vaste répertoire de musique de chambre lui a permis de jouer avec les plus grands solistes du monde entier. Sa discographie comprend divers enregistrements de mélodies françaises, ainsi que des récitals de flûte, hautbois, basson, et violoncelle.

 

L'opéra d’Antonio Vivaldi, ‘la Fida Ninfa’, , fut créé à Vérone en 1732 pour l'inauguration du Teatro Filarmonico, sur un livret du marquis Scipione Maffei. Le berger Narete est captif, avec ses deux filles, du pirate Oralto. Dans cet air, d'une grande beauté, il supplie ce dernier de leur rendre la liberté :

« Allez, cède, consens à cet accord, vois les pleurs, entends nos plaintes, laisse-toi convaincre par l’or ou la pitié. Dans des tragédies aussi terribles, en de si funestes désastres, toi-même, tu pourrais tomber. Nous aussi nous fûmes heureux, mais son sort l’homme ne le connait pas.

 

Pendant la courte période que Kurt Weill passe en France, après avoir quitté son Allemagne natale en 1933, il compose une foule de chansons, dont Youkali, extrait de l’opérette Marie-Galante. Chanson populaire sans prétention savante, c’est un tango-habanera qui exalte une île de rêve, de désirs et de plaisirs. Elle comporte deux couplets courts et de caractère sombre et deux longs refrains très lyriques. Paroles et musique parfaitement adaptées à la période que nous vivons actuellement.

 

Amicalement,

Jean-Yves et Dalila Marinaro

04 68 89 65 96

 

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